Choisir son avocat n’est pas une chose aisée lorsque c’est la première fois qu’on est confronté à une difficulté. Relevez alors : ses compétences, sa notoriété, son expérience, ses résultats, ses récompenses…

La victime de la route après son accident se retrouve seule et à défaut d’aide administrative, le parcours de la personne en situation de handicap devient le parcours du « combattant »

La victime malheureusement peut parfois décéder sur le coup ou des suites de ses blessures. Les conséquences sont alors dramatiques, et les proches de la victimes deviennent des victimes par ricochet

L’expertise médico-légale est le nerf de l’indemnisation des préjudices de la victime de la route. En réalité, c’est bien la fixation de la date de consolidation qui va déclencher les mécanismes indemnitaires.

L’amputation d’un membre chez les victimes est un moment traumatisant car les troubles liés aux douleurs du membre fantôme font couler beaucoup d’encre et de larmes.

L’indemnisation des victimes de la route est un combat de tous les jours et la patience devra être l’axe principal pour ne pas céder à des indemnisations en dessous de la réalité des préjudices.

L’indemnisation des victimes doit se faire en fonction des différents préjudices et ils sont nombreux. Du préjudice esthétique au préjudice économique, ils doivent impérativement être indemnisés en fonction de la situation particulière de la victime.

Les PGPF sont à déterminer avec la plus grande attention au risque de subir un nouveau préjudice économique. Souvent discuté par les assurances, l’accompagnement par un avocat dommages corporels ne pourra être qu’un plus..

C’est l’un des postes, le plus discuté tant dans la quantité que de son coût. Attention alors à être au fait de l’actualité jurisprudentielle.

L’aggravation de la victime peut être médicale ou juste « situationnelle ».

En pratique, rien ne remplacera l’expérience d’un avocat dommages corporels

Le cycliste, avec le piéton est l’une des victimes la plus fragile

Dans son parcours du combattant de victime, de nombreux frais vont devoir être avancés

Le motard à cette particularité qu’il ne dispose d’aucune carcasse lorsqu’il est percuté, à son désavantage

Le préjudice qui sera en principe celui qui va permettre à la victime de la route, de retrouver un pouvoir d’achat similaire en principe à celui d’avant l’accident.

L’assureur n’est certainement pas un allié de la victime et pour cause, il est le premier à opposer des exclusions de garantie et n’hésite pas à avoir recours aux services d’enquêteurs.

Le logement de la victime en situation de handicap (ou celui des victimes par ricochet) peut rapidement devenir impraticable au regard des handicaps lourds de la victime. Bref le logement n’est alors pas adapté au handicap de la victime. L’adaptation du logement ne sera plus une simple option mais une obligation, voire l’achat du logement.

Le barème de capitalisation est un outil utilisé après l’obtention d’un rapport médical si la victime est consolidée, à ne pas confondre avec les barèmes de calculateurs d’indemnités mis en avant par les escrocs et autres associations de victimes

Les avocats constatent de plus en plus que certaines victimes confient leurs dossiers d’indemnisation de leurs préjudices à d’autres acteurs du droit du dommage corporel : des associations de victimes et des experts d’assurés exerçant sous la forme de sociétés commerciales. Néanmoins, il y a de plus en plus d’erreurs et de fraudes qui anéantissent parfois des familles entières qui ne peuvent pas obtenir leur indemnisation. La profession d’expert d’assuré a même été jugée illégale par la cour de cassation…

Les jeunes victimes peuvent avoir des préjudices différents des victimes déjà dans la vie active…

Les transports en commun sont essentiels dans les villes modernes de plus en plus peuplées. Des voies dédiées à ces transports en commun sont alors régulièrement créées. Qu’en est-il alors du régime de responsabilité en cas d’accident avec un train ou en cas d’accident avec un tramway …

Les traumatisés crâniens sont les victimes les moins « comprises » puisque la plupart de leurs séquelles se présentent sous la forme de troubles cognitifs, donc des préjudices invisibles.

Dès lors que le conducteur commet une faute de conduite, donc responsable d’un accident, ou même lorsque le conducteur est impliqué seul dans un accident (sans tiers impliqué), ses propres dommages corporels ne seront pas pris en charge par son assurance. Le conducteur fautif n’est pas protégé en effet par la Loi Badinter. Néanmoins, le conducteur fautif donc responsable de l’accident, s’il est couvert par son assurance au titre de la garantie du conducteur ou garantie corporelle du conducteur, alors ses séquelles seront bien prises en charge sous réserve des termes du contrat (plancher ou seuil d’intervention, plafond de garantie)

Les Français à l’étranger, touristes ou autres sont confrontés à différends problèmes de taille lorsqu’ils sont impliqués dans un accident de la route ou autres. Les problèmes de responsabilités se rajoutent à la barrière de la langue et à la loi applicable locale souvent moins favorable que la Loi Française. Le cabinet Benezra qui cumule les compétences en droit du dommage corporel et en droit international de la responsabilité ne manquera pas d’optimiser votre indemnisation.