Vous restez un non-conducteur protégé par l’article 3 : vos imprudences ne sont pas opposables sauf faute inexcusable cause exclusive (hypothèse rare). l’absence de casque peut générer un débat médical sur certains postes (ex. aggravation d’un traumatisme crânien), mais ne transforme pas le passager en conducteur ni en co-responsable par principe. syllogisme : (majeure) art. 3 protège les non-conducteurs ; (mineure) l’absence de casque n’est généralement pas une faute inexcusable au sens strict (volontaire d’exceptionnelle gravité + exclusivité) ; (conclusion) le principe demeure l’indemnisation intégrale des atteintes à la personne, sous réserve de discussions ciblées poste par poste (Dintilhac : souffrances, DFP/AIPP, aide humaine, etc.).