ATTENTION AUX CONSEILS présents sur UN FORUM INDEMNISATION DOMMAGES CORPORELS
Forum victimes de la route | Forum accidents de la route

Lorsqu’une victime de la route commence à reprendre ses esprits après un accident de la route, (accident léger avec conséquences lourdes : fracture ouverte, paralysie… ou, accident très grave avec des conséquences permanentes, jusqu’au handicap, traumatisé médullaire, traumatisé crânien, tétraplégique, paraplégique, amputation et autres paralysies), elle se dirige vers internet et ses forums juridiques.
En effet, seule, la victime lit beaucoup d’articles juridiques et écoute ceux qui s’expriment sur les forums en expliquant qu’ils ont survécu à un accident et qu’ils ont obtenu l’indemnisation de leurs préjudices. Ils expliquent alors leur méthode, ce qu’il faut faire et ne pas faire… Mais est-ce vraiment une bonne chose ou au contraire ces faux bons conseils ne peuvent-ils pas compromettre sérieusement les droits de la victime ?
→ Le « forum indemnisation dommages corporels » ou forum accident de la route
La victime de préjudices corporels va alors consulter quelques forums juridiques et particulièrement le forum où quelques victimes ont pu être indemnisées de leurs préjudices corporels à la suite d’un accident de la route et expliquent leur expérience, donnent des « faux bons conseils » et orientent alors maladroitement.
Si nous savons tous que les forums médicaux sont à prendre avec beaucoup de légèreté, le forum juridique est encore mal connu et souvent de nombreuses victimes de la route deviennent alors de nouvelles victimes, simplement pour avoir suivi les conseils de « jean », « nebulus » ou « lepetitjuriste » sur un forum d’indemnisation des préjudices corporels de victimes.
« Consulter un forum indemnisation dommage corporel revient à demander à votre voisin de venir vous opérer sur une table d’opération » Avocat dommages corporels
→ Le forum spécialisé en droit et réparation des dommages corporels et indemnisation des préjudices corporels de victimes.
Il y a les forums généraux, où l’on parle de tout et rien, et il y a les forums spécialisés en médecine, en droit et en économie…
La victime de la route qui consulte son premier ami, « internet » va rechercher alors d’autres victimes pour voir comment ces victimes se sont débrouillées et naturellement elles vont consulter un forum en indemnisation des dommages corporels.
Mais que peut bien apporter l’internaute sous le pseudo « lepetitjuriste » ? Des conseils, un support, du réconfort… en apparence!
La victime dans un moment d’extrême faiblesse va absorber les paroles des internautes qui échangent sur le « forum préjudices corporels » et qui peuvent malheureusement porter préjudice à la victime qui va se retrouvée dans une situation encore plus délicate.
→ Quels risques pour la victime de la route à fréquenter un « forum indemnisation des préjudices corporels » ?
Le principal risque est la fausse information transmise involontairement (par l’internaute se croyant juriste), ou volontairement (par un expert d’assuré ou autres professions illégales).
En effet, sur certains sites et forums juridiques en réparation des préjudices corporels des victimes de la route, certains n’hésitent pas à conseiller, proposer, ou orienter alors qu’ils ne disposent d’aucune compétence juridique, surtout dans le domaine du droit du dommage corporel.
Dans ce domaine, où la jurisprudence en droit du dommage corporel évolue tous les jours, l’expertise ne s’improvise pas.
Certaines victimes qui n’ont eu que quelques séquelles superficielles fréquentent régulièrement ces forums.
Comme elles ont pu se « débrouiller » toutes seules, elles incitent alors d’autres victimes de la route avec pourtant des séquelles beaucoup plus graves à en faire autant.
Sauf que les assureurs n’ont pas les mêmes objectifs en fonction de leurs intérêts financiers plus ou moins en danger.
→ Le faux bon conseil de la propre assurance de la victime contenus dans la convention IRCA
Les plus mauvais conseils sont certainement ceux qui orientent la victime de la route vers son propre assureur. En effet, c’est largement méconnaitre les convention inter-assurance de type IRCA qui laissera pleins d’illusions qui n’aura pas connaissance du rôle de l’avocat de victime de préjudices corporels.
Avant l’indemnisation, encore faut-il connaître ses droits à être indemnisé.
La victime de la route, très souvent se contentera de la parole « d’évangile » de son assurance qui lui expliquera que sa responsabilité est entièrement engagée mais qu’elle a tout de même réussi à obtenir une indemnisation à 50%…
L’assurance se gardera pourtant de préciser que selon la convention IRCA elle est aussi chargée de payer les dommages de la victime de la route, et ce même s’il s’agit de son propre assuré. Ainsi le régleur est le conseiller et l’ « escroquerie » se met alors en place…
L’assurance luttera pour ses propres intérêts et en aucun cas pour ceux de la victime de la route.
« Dans un Forum accident de la route, tout le monde se prend pour un juriste ou un avocat alors que l’appréhension de la matière c’est 10 ans d’étude et + de 20 ans de pratique nous concernant » Avocat dommages corporels
→ Le faux bon conseil de l’assurance de la victime : l’expert de compagnie
Une fois le droit à indemnisation de ses préjudices corporels acquis, la victime doit se préparer à une expertise médicale.
S’il est simple d’expliquer également comment récupérer un dossier médical, il est beaucoup complexe de savoir comment préparer un dossier médical, quels documents utiliser (certificat médical initial, compte-rendu opératoire…) comment les classer et les remettre au médecin-expert judiciaire ou au médecin-expert de compagnie.
L’assurance vous communiquera les coordonnées d’un médecin-expert qui en réalité est un médecin de compagnie, la qualification de médecin-expert devant être réservée à un médecin indépendant désigné par un juge. Ce même médecin, deviendra le propre médecin de la compagnie d’assurance si vous deviez contester son rapport à l’amiable, donc le médecin censé évaluer les préjudices corporels ou les préjudices psychiques de la victime (pour les traumatisés crâniens par exemple) peut à son gré, devenir l’adversaire de la victime… Ce n’est pas sérieux et cela prouve que quoi qu’il en coûte, la victime doit se faire assister par un binôme avocat/médecin-conseil, quelle que soit la procédure engagée (à l’amiable ou au contentieux). L’avocat spécialisé en réparation des dommages corporels pourra orienter la victime de la route vers un médecin-conseil, qui ne travaille qu’avec des victimes et en aucun cas avec des assureurs pour éviter tout conflit d’intérêt alors qu’il existe de nombreux médecins ayant une double casquette qui travaillent avec des victimes et des assureurs.
→ La victime de la route confrontée aux outils réservés aux professionnels
L’avocat préjudices corporels saura aussi exploiter les différents outils mis à sa disposition (Nomenclature Dintilhac, …) qui souvent sont très mal utilisés par méconnaissance et manque de recul. En effet, de nombreux préjudices sont listés (pretium doloris, préjudice esthétique, pgpf, souffrances endurées, déficit fonctionnel permanent, dft…) mais tous ont évolués avec la jurisprudence dommages corporels et ont alors été interprétés par la doctrine et les avocats compétents en dommages corporels.
En tout état de cause, l’avocat contrôle la procédure et si besoin, conseillera la victime de la route sur son droit de contester l’offre d’indemnisation définitive, même si celle ci a déjà été signée ou acceptée.
F.A.Q. Cliquez sur la question
Réponse :
Méfiez-vous des conseils trouvés sur les forums
Sur de nombreux forums, des victimes partagent leur expérience ou proposent des barèmes d’indemnisation « maison », souvent très éloignés des standards retenus par les juridictions. Ce mélange de conseils approximatifs et d’informations non vérifiées peut conduire à accepter des montants largement inférieurs à ce que prévoit le droit.
Les compagnies d’assurance le savent : une victime seule, non accompagnée, est plus encline à accepter une offre « clé en main », sans en mesurer la portée. Pourtant, en vertu de la loi Badinter, toute offre d’indemnisation doit être complète, motivée et établie dans un délai précis. En cas de silence ou de proposition incomplète, des intérêts de retard peuvent être exigés.
Avant de suivre une recommandation anonyme, il est essentiel de :
vérifier que l’offre respecte bien tous les postes de préjudices prévus par la nomenclature Dintilhac,
s’assurer que le délai de prescription biennale n’est pas dépassé,
et comparer l’offre reçue avec les standards judiciaires issus de la jurisprudence.
Une mauvaise évaluation aujourd’hui peut compromettre toute demande de réouverture en cas d’aggravation demain. D’où l’importance d’un accompagnement rigoureux dès les premières démarches.
Réponse :
J’ai eu la chance incroyable de bénéficier des services exceptionnels de Maître Benezra ainsi que ses collègues Avocats du cabinet. Maître Benezra est l’avocat qui a non seulement accepté de prendre mon dossier quand aucun autre n’avait osé le faire, mais qui a également transformé un défi en une réussite éclatante. Son expertise et son dévouement ont fait de l’impossible une réalité, il a été d’une patience exemplaire à mon égard, mais il l’a été davantage avec le dossier compliqué de ma fille qui a duré plusieurs années.
Le cabinet a tout donné pour faire valoir mes droits, et le résultat dépasse largement mes attentes. Il a réussi là où d’autres auraient abandonné. Son implication profonde dans mon affaire a probablement changé ma vie de manière inestimable. Il a été à l’écoute, investi et bienveillant avec nous.
Son professionnalisme, sa persévérance et son talent exceptionnel font de lui bien plus qu’un avocat, mais un véritable artisan du droit. Je recommande vivement Maître Benezra à quiconque cherche un avocat dévoué, compétent et capable de faire des miracles juridiques. Mon immense gratitude va à lui ainsi qu’à ses collègues.
MERCI INFINIMENT !
Réponse :
L’accident d’Hana, 16 ans, a eu de nombreuses conséquences outre cette fracture de son pied. Pour cause, la procédure a duré pas moins de 12 ans. Le résultat est assez exceptionnel puisque l’assurance ne proposait initialement que la poise d’un plâtre puis devant l’insistance de sa maman, une indemnisation à 60.000 euros. Avec l’aide du cabinet,
Hana a été indemnisée pour l’ensemble de ses préjudices + 1.000.000 d’euros Voir le cas ?
Réponse :
Les discussions en ligne affichent des montants allant de quelques centaines d’euros à plusieurs centaines de milliers, sans jamais préciser les paramètres médico-légaux sous-jacents.
Or, la jurisprudence exige la réparation intégrale : chaque poste de la nomenclature Dintilhac (souffrances endurées, déficit fonctionnel, pertes de revenus, aide humaine, etc.) doit être chiffré sur la base d’une expertise contradictoire. Les montants vus sur les forums ne constituent donc que des exemples isolés ; ils ne valent qu’au regard de l’âge, de l’activité, des séquelles, du taux d’incapacité et surtout à l’environnement propre à la victime. Sans cet encadrement, accepter une offre revient souvent à abandonner des droits substantiels.
En savoir + sur « les forums en droit du dommage corporel » ? Consultez notre BLOG en droit du dommage corporel, cliquez ici
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