LA FAUTE DE LA VICTIME D’UN ACCIDENT DE LA ROUTE
L’indemnisation de la victime fautive d’un accident de la route
→ Jacques, victime d’accident de la route
Jacques vient d’obtenir 436.000 euros à titre de dédommagement de ses préjudices après plus de 3 années de procédure. Jacques était assisté par le cabinet Benezra, et, malgré la durée de cette procédure, il n’a jamais perdu confiance et a toujours su écouter ses avocats dommages corporels.
Analyse sans engagement
Soumettez-nous votre dossier, même si vous êtes déjà en procédure, sans engagement
Pourtant, Jacques, en grandes difficultés financières aurait pu accepter l’offre d’indemnisation de l’assurance fixée à plus de 100.000 euros, somme conséquente pour cet ouvrier du bâtiment. Il a tenu et il a eu raison…
L’assurance a considéré que dans l’accident de la circulation dont il est question, la responsabilité de Jacques était engagée à 100%.
Néanmoins, le contrat d’assurance de Jacques prévoyait l’indemnisation de certains préjudices (listés au contrat), malgré les fautes éventuelles de l’assuré : c’est la garantie corporelle du conducteur.
Cette garantie corporelle du conducteur peut prendre plusieurs noms en fonction des assurances (garantie corporelle, garantie du conducteur…) mais en aucun cas ne correspond à la garantie tous risques liée quant à elle aux dégâts matériels, vols et incendies des véhicules.
A noter : les GAV (garantie accident de la vie) ne s’appliquent jamais aux accidents de la circulation
Aussi, l’assurance, sur le fondement de son contrat, a organisé une expertise médico-légale afin de déterminer les préjudices corporels et les préjudices psychologiques de Jacques.
Rappelons que lorsque le conducteur victime est fautif, seule la « garantie corporelle du conducteur » pourra s’appliquer sous réserve d’y avoir souscrit. C’est donc un contrat qui s’applique avec ses réserves, ses planchers et ses plafonds d’indemnisation. L’indemnisation est donc limitée contractuellement.
L’assurance a donc tout naturellement, offert à Jacques pour son indemnisation, après l’avoir déclaré responsable, donc fautif, la somme de 100.000 euros.
Ayant eu quelques doutes, Jacques a consulté le cabinet et sa responsabilité a totalement été dégagée, et l’ensemble de ses préjudices n’étaient alors plus limités contractuellement. Une expertise classique a été réalisée de type Badinter, et l’ensemble des postes de préjudices ont pu être évalués et indemnisés.
L’indemnisation totale est alors allé au-delà de ses espérances puisqu’elle a dépassé les 400.000 euros, donc, multipliée par 4 et ce n’est pas rien.
Le cabinet à aucun moment ne s’est engagé sur les sommes qu’il allait récupérer puisque l’expertise au moment de sa saisine n’avait pas encore été réalisée et surtout, Jacques n’était pas consolidé.
En savoir + sur nos « résultats » ? Consultez notre page « RÉSULTATS » en droit du dommage corporel – cliquez ici
Tout commence par un premier contact !
Contactez-nous, sans engagement, et en toute discrétion
N’hésitez-pas, après il sera trop tard,
info@benezra.fr / 3 rue Denis Poisson 75017 Paris