BLOG DROIT DU DOMMAGE CORPOREL

Les traumatisés crâniens sont les victimes les moins « comprises » puisque la plupart de leurs séquelles se présentent sous la forme de troubles cognitifs, donc des préjudices invisibles.

La victime malheureusement peut parfois décéder sur le coup ou des suites de ses blessures. Les conséquences sont alors dramatiques, et les proches de la victimes deviennent des victimes par ricochet

L’expertise médico-légale est le nerf de l’indemnisation des préjudices de la victime de la route. En réalité, c’est bien la fixation de la date de consolidation qui va déclencher les mécanismes indemnitaires.

L’amputation d’un membre chez les victimes est un moment traumatisant car les troubles liés aux douleurs du membre fantôme font couler beaucoup d’encre et de larmes.

L’indemnisation des victimes de la route est un combat de tous les jours et la patience devra être l’axe principal pour ne pas céder à des indemnisations en dessous de la réalité des préjudices.

L’indemnisation des victimes doit se faire en fonction des différents préjudices et ils sont nombreux. Du préjudice esthétique au préjudice économique, ils doivent impérativement être indemnisés en fonction de la situation particulière de la victime.

Les PGPF sont à déterminer avec la plus grande attention au risque de subir un nouveau préjudice économique. Souvent discuté par les assurances, l’accompagnement par un avocat dommages corporels ne pourra être qu’un plus..

C’est l’un des postes, le plus discuté tant dans la quantité que de son coût. Attention alors à être au fait de l’actualité jurisprudentielle.

L’aggravation de la victime peut être médicale ou juste « situationnelle ».

En pratique, rien ne remplacera l’expérience d’un avocat dommages corporels

Le cycliste, avec le piéton est l’une des victimes la plus fragile

Dans son parcours du combattant de victime, de nombreux frais vont devoir être avancés

Le motard à cette particularité qu’il ne dispose d’aucune carcasse lorsqu’il est percuté, à son désavantage

Le préjudice qui sera en principe celui qui va permettre à la victime de la route, de retrouver un pouvoir d’achat similaire en principe à celui d’avant l’accident.

L’assureur n’est certainement pas un allié de la victime et pour cause, il est le premier à opposer des exclusions de garantie et n’hésite pas à avoir recours aux services d’enquêteurs.